• Accueil
  • CV
  • Conférences
  • Publications
  • Logiciels
  • Musique
  • Accueil
  • CV
  • Conférences
  • Publications
  • Logiciels
  • Musique

Archipels, création musicale électroacoustique improvisée

  • On 28 avril 2014

phono_plaisir_prop_5B1 - copieVendredi 2 mai à 20h30 , Église Saint-Pierre de Plaisir

Les Phonogénistes pratiquent l’improvisation électroacoustique depuis une quinzaine d’années, souvent en association avec d’autres formes d’expression artistique partageant la même liberté et le même plaisir de la recherche.

Archipels est une création improvisée les associant à deux autres musiciens et un électroacousticien. Les technologies audiovisuelles les plus avancées seront confrontées à un des plus anciens instruments de musique, que l’on peut considérer comme un des premiers “synthétiseur” acoustique : l’orgue, et à son lointain cousin portable et populaire : l’accordéon.

Les sons de l’orgue et de l’accordéon résonneront avec leurs doubles électroacoustiques spatialisés. Les musiciens, répartis dans l’espace du concert comme autant d’îles dans l’océan, engendreront des mouvements sonores autour du public.

Les phonogénistes :
Laurence Bouckaert : karlax
Pierre Couprie : flûte augmentée
Francis Larvor : laptop, contrôleur
Jean-Marc Chouvel : orgue
Olivier Innocenti : accordéon bayan et eigenharp

0 Commentaires

Professeur des universités

Université d’Évry-Val-d’Essonne
Université Paris-Saclay

Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines (CHCSC) – EA 2448

Histoire de la musique, analyse musicale, musicologie numérique, musique électroacoustique, représentation musicale, informatique musicale

Recherches
  • Analyse de l’interprétation acousmatique
  • NATIV
  • New Multimedia Tools for Electroacoustic Music Analysis
  • ElectroAcoustic Resource Site
  • Thèse
  • Habilitation à diriger des recherches
  • Fiche pratique : outils numériques pour la recherche

Les tribulations : vidéo de la performance avec ONE

Interactive Music Notation and Representation Workshop

Scroll

© 2019, pierre couprie